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WEBINAR Quelle énergie pour l’Afrique ? Une urgence et des défis (Frans)

10/11/2020

Op initiatief van Mémoires du Congo en in samenwerking met de CBL ACP en CRAOM nodigt de CBL-ACP haar leden uit om deel te nemen aan een Webinar over het thema energie in Afrika.

SPEAKER

Dr. Ir. Georges Van Goethem

- Ingénieur civil mécanicien (UCL 1974) et docteur en sciences appliquées (UCL 1979)

Ancien Principal Scientific Officer à la Commission européenne, chargé de recherche (Ispra en Italie, Karlsruhe en Allemagne) et Euratom Program Manager (DG RTD à Bruxelles)

CLAEYS

Thierry Claeys Bouuaert

Head of section République Démocratique du Congo

Modérateur

PROGRAMME DU WEBINAIRE

Cet exposé traitera des aspects technologiques et scientifiques du secteur énergétique qui sont essentiels dans toute stratégie de développement socio-économique, qu’il s’agisse de pays industriels ou émergents, en particulier en Afrique. On distingue traditionnellement cinq étapes dans la chaîne de valeur du secteur de l’énergie, depuis l’extraction des ressources naturelles jusqu’à l’utilisation finale dans les services exigés par toute société moderne.

Les thèmes suivants seront traités :

(1) Les trois sources d’énergies primaires en Afrique.

(2) Les technologies de conversion vers des énergies secondaires.

(3) Les énergies secondaires telles que chaleur, électricité, carburants pétroliers raffinés, on les appelle aussi vecteurs énergétiques + stockage de l’énergie.

(4) Les technologies de conversion finale vers les services énergétiques utilisés par industrie, commerce, ménages, transports, services, agriculture, telles que pompes, fours, chaudières ; chauffage, climatisation, éclairage, électroménager ; voiture, train, avion, bateau.

(5) La mise en œuvre des services énergétiques pour que l’économie soit prospère, que les maisons soient confortables, et que les services essentiels fonctionnent.

On traitera également les aspects: 

– (1) d’efficacité énergétique (pour parvenir à une sécurité d’approvisionnement, à une réduction des émissions de gaz à effet de serre, et à une réduction des coûts d’une manière stable et systématique, et 

– (2) d’économie circulaire (visant à limiter la consommation et le gaspillage des matières premières, de l’eau et des sources d’énergie).